Intermarché/Netto et la coopérative laitière Sodiaal trouvent un accord pour une filière lait plus rémunératrice

Intermarché/Netto et la coopérative laitière Sodiaal trouvent un accord pour une filière lait plus rémunératrice


Seulement quelques semaines après l’ouverture des négociations commerciales 2020, Intermarché/Netto et Sodiaal ont finalisé leur accord avec, pour Intermarché/Netto, une hausse des prix d’achat des fromages, du lait et des yaourts qui permettra à la coopérative Sodiaal de s’engager sur une revalorisation du prix du lait aux producteurs à hauteur de 380€/1 000 L, Produits de Grande Consommation France toutes primes comprises.

Cet accord, qui entrera en vigueur au 1er mars 2020, s’étend aux produits de marques nationales Entremont et Candia, au fromage et au lait (hors AOP) des produits de marques de distributeur de l’enseigne (près de 12 000 tonnes pour Entremont et plus de 50 000 000 litres de lait pour l’année 2019). Il concerne également la marque Yoplait sur les produits ultra-frais et la crème fraîche. Intermarché/Netto et la coopérative Sodiaal ont également convenu au travers de cet accord EGA, de travailler ensemble sur le développement dès 2020 sur le périmètre des fromages, d’une indication « lait pâturé » sur les produits de marques de distributeur d’Intermarché/Netto.

Pour Damien Lacombe, Président de Sodiaal « cet accord est une nouvelle avancée dans notre combat pour valoriser le lait des 20 000 producteurs de notre coopérative. Nous saluons la volonté d’Intermarché de défendre à nos côtés le modèle laitier français. Enfin, nous appelons les distributeurs n’ayant pas encore concrétisé leur engagement dans l’année 2 des Etats Généraux de l’Alimentation à le faire avant le 1er mars ».

Cet accord avec Sodiaal, comme les autres accords de ce type signés par Intermarché/Netto pour la deuxième année consécutive, démontre que la relation distribution industrie peut générer de la valeur pour l’amont agricole à chaque fois qu’il y a de part et d’autre une volonté sincère de s’engager pour l’agriculture française et une détermination à faire bouger les lignes. Avec Sodiaal, la confiance est là, nous avons la conviction que la valeur créée par les hausses de tarif acceptées sera intégralement reversée aux éleveurs.

Thierry Cotillard,
Président d’Intermarche et Netto
Intermarché/Netto et Savencia s’engagent pour une revalorisation de la filière laitière

Intermarché/Netto et Savencia s’engagent pour une revalorisation de la filière laitière


Thierry Cotillard, Président d’Intermarché et Netto, et Jean-Paul Torris, Directeur Général du Groupe Savencia Fromage & Dairy, annoncent la signature d’un accord qui s’inscrit dans une démarche conjointe et responsable en faveur de la filière laitière, dans le cadre de la loi EGalim.

Seulement quelques semaines après l’ouverture des négociations commerciales 2020, Intermarché/Netto et Savencia ont finalisé leur accord avec, pour Intermarché/Netto, une hausse des prix d’achat des fromages qui permettra au Groupe Savencia de s’engager sur une revalorisation du prix du lait aux producteurs à hauteur de 380 €/1 000 L, Produits de Grande Consommation France toutes primes comprises et à composition réelle, pour la quote-part d’Intermarché dans la collecte Savencia.

Cet accord s’étend à l’ensemble des produits de marques nationales et de marques de distributeur de Savencia Fromage and Dairy. Il prévoit, notamment sur la partie des marques de distributeurs de l’enseigne un accroissement de l’activité par le développement de nouvelles gammes alignées sur la stratégie « mieux produire » et « mieux manger » d’Intermarché.

Pour Jean-Paul Torris, « cet accord confirme la volonté de Savencia de rester en 2020, comme en 2019, un acteur exemplaire de la revalorisation de la filière laitière. Nous saluons l’attitude responsable d’Intermarché vis-à-vis de la filière laitière ».

Le renouvellement et l’extension de cet accord montrent la volonté d’Intermarché et de Netto de soutenir les industriels qui jouent le jeu de la transparence pour une filière laitière plus rémunératrice. Vu le rôle exemplaire de Savencia en la matière, cet accord est un réel choix de revalorisation de la filière, plus que jamais. Par cet accord aussi, nous assumons fermement la sélection des gammes présentes dans nos linéaires en faveur des partenaires industriels les plus rémunérateurs pour les éleveurs, qu’il s’agisse de marques nationales ou de produits à nos marques. Tout ceci démontre qu’un nouveau mode de relation et de travail est possible entre distributeur et industriel.

Thierry Cotillard,
Président d’Intermarché et Netto

L’accord sera accessible à des auditeurs indépendants et certifiés, afin de contrôler, en toute transparence, la redescente aux producteurs de lait de l’intégralité de cette augmentation de tarif.

Intermarché expérimente le potager urbain d’intérieur avec Infarm

Intermarché expérimente le potager urbain d’intérieur avec Infarm


Intermarché s’associe à la start-up Infarm pour proposer des herbes fraîches cultivées et récoltées directement en point de vente. Cette offre de produits frais inédite est expérimentée dans 8 magasins de l’enseigne de la région parisienne. En plus de répondre aux deux combats d’Intermarché, le « mieux manger » et le « mieux produire », elle apporte également une réponse aux souhaits des consommateurs citadins en attente de basilic, coriandre, menthe ou ciboulette frais.

Intermarché teste de nouvelles solutions d’agriculture urbaines

Du fait de son positionnement unique de « Producteurs & Commerçants », Intermarché oriente naturellement ses efforts en faveur du « Mieux manger » et du « Mieux produire ». En ce sens, le potager urbain d’Infarm représente une preuve concrète des engagements d’Intermarché et apporte par ailleurs une réponse aux enjeux de demain, en matière d’agriculture urbaine notamment. En effet, d’ici 2050, il y aura 9 milliards d’individus, et 70% d’entre eux vivront dans des centres urbains. Un défi démographique qui nécessite, d’ores et déjà, le développement de solutions complémentaires à l’agriculture traditionnelle.

Les potagers urbains d’intérieur sont expérimentés dans 8 magasins Intermarché d’Ile-de-France depuis avril 2019. Cultivés dans des serres verticales de 2 m2, les plants de basilic, de coriandre, de menthe ou encore de ciboulette sont éclairés par des LED. Les herbes sont ensuite récoltées manuellement deux fois par semaine par les équipes d’Infarm pour être ensuite proposées directement à la vente sur les présentoirs des magasins partenaires.  

Nous sommes impatients de poursuivre notre collaboration avec Intermarché afin de continuer à proposer aux consommateurs des produits ultra-frais, locaux, naturels et aux saveurs multiples.

Erez Galonska,
PDG et co-fondateur d’Infarm.

Des premiers retours positifs

Avec ce potager urbain, Intermarché, par le biais de la Direction de l’Innovation du Groupement Les Mousquetaires, teste une nouvelle manière de produire qui séduit. Les clients réclament progressivement plus de produits et plus de variétés.

Dans notre magasin, nous vendons en moyenne 600 plans par mois, soit l’intégralité de la production aujourd’hui rendue possible par la ferme. Les ventes d’herbes aromatiques ont même réalisé un bond de 30%.

Christophe Hellio,
chef d’entreprise Intermarché à Yerres (91)

Garanties 100% locales, sans pesticides et ultra-fraîches, les herbes s’épanouissent à la vue des clients et ces nouveaux modes de production et de consommation ultra-locaux répondent au plus près aux attentes des clients citadins des points de vente Intermarché.

La gamme citoyenne d’Intermarché « Les Eleveurs vous disent MERCI ! » s’installe au rayon Miel

La gamme citoyenne d’Intermarché « Les Eleveurs vous disent MERCI ! » s’installe au rayon Miel


En co-construction avec la société FAMILLE VACHER, PME familiale spécialisée dans le miel depuis 1930 et partenaire historique d’Intermarché depuis plus de 10 ans, le miel « Les Apiculteurs vous disent MERCI ! », conçu sur le même modèle économique que le lait et les œufs, est disponible dans les 1 200 points de vente Intermarché depuis le 30 novembre 2019.

Avec le Miel « Les apiculteurs vous disent MERCI ! », Intermarché s’engage à mieux rémunérer les apiculteurs pour la pérennisation de la filière apicole française…

Consciente du rôle essentiel des abeilles dans l’écosystème, l’enseigne sait qu’elles représentent le maillon indispensable à la préservation de la biosphère en favorisant la pollinisation des plantes sauvages et cultivées. Dans ce contexte, la prime reversée aux apiculteurs du « Miel MERCI ! » sera utilisée pour continuer à mettre en place des solutions concrètes permettant la préservation et la pérennisation des abeilles.

Les apiculteurs partenaires s’engagent, par exemple, à :

  • Augmenter le nombre de ruches pour sécuriser la pérennité des exploitations ;
  • Semer des hectares de jachères mellifères et isoler au mieux les ruches afin de protéger les abeilles du froid et surtout du chaud en période de canicule ;
  • Investir pour le remplacement annuel de cadres français dans la ruche ;
  • Investir dans du matériel français d’élevage pour augmenter et/ou améliorer le cheptel ;
  • Investir dans du matériel adapté à la lutte contre le frelon asiatique et le varroa.

… et la meilleure rémunération des apiculteurs…

Miel de fleurs crémeux récolté en France en format 500g, le « Miel MERCI ! » est vendu au prix de
5,90 €, dont 3,05 € sont intégralement reversés à l’apiculteur.

Un prix de vente qui se décompose comme suit :

  • Apiculteur : 51,7%
  • Distribution et rémunération du point de vente : 23,65%
  • Conditionnement logistique : 19,15%
  • TVA : 5,5%

À l’image des produits laitiers et des œufs, le modèle économique du miel « Les apiculteurs vous disent MERCI ! », est un modèle durable et de long terme s’accompagnant d’une contractualisation de 3 ans avec l’enseigne.

Le miel, un produit apprécié des Français

Les Français consomment environ 40 000 tonnes de miel par an, ce qui correspond à 600 grammes par habitant et par an et place l’Hexagone parmi les plus gros consommateurs d’Europe. Une consommation en légère augmentation, tirée par la région Ouest. Dans ce contexte favorable, Intermarché ambitionne de vendre autour de 7 000 pots de miel/mois, soit 84 000 pots/an.

Plus qu’une gamme citoyenne, « MERCI ! » se veut le porte-drapeau des filières agricoles françaises, afin qu’elles soient clairement identifiées aux yeux des consommateurs :

  • Aider les éleveurs à mieux vivre de leur travail ;
  • Soutenir la production française ;
  • Favoriser le bien-être animal ;
  • Apporter toujours plus de transparence aux consommateurs sur la répartition de la valeur.

Tels sont les objectifs et valeurs de la gamme « Les éleveurs vous disent MERCI ! ».

Fort du succès des produits laitiers, nous avons à cœur de poursuivre le développement de notre gamme « MERCI ! » qui renforce et consolide les liens entre le producteur, le transformateur, le distributeur et le consommateur, dans la droite ligne des États Généraux de l’Alimentation. Aujourd’hui, avec le lancement du miel, Intermarché va plus loin en accompagnant les apiculteurs dans l’amélioration, le développement et la préservation de l’environnement et de la biodiversité.

Thierry COTILLARD, Président d’Intermarché 

La société FAMILLE VACHER, partenaire d’Intermarché depuis 10 ans…

Créée en 1996, la société FAMILLE VACHER compte 23 salariés et produit 2 500 tonnes de miel chaque année. À date, 18 apiculteurs font partie de l’aventure « Merci ! » ce qui représente environ 18 000 ruches. Parmi eux, 5 apiculteurs ambassadeurs figurent en photo sur les pots de miel, dont, pour la première fois, un binôme mère/fils.

Disponible dans 1 200 points de vente Intermarché à compter du 30 novembre, le miel « Les Apiculteurs Vous Disent Merci ! » affiche un objectif annuel de 84 000 pots par an.

« Les Éleveurs Vous Disent MERCI ! », la petite gamme qui monte… :

– 6 février 2018 : lancement de la marque « Les Eleveurs Vous Disent Merci ! » avec le lait
– 5 juillet 2018 : lancement du beurre doux
– 25 août 2018 : lancement de la crème fraîche
– 2 février 2019 : lancement du beurre demi-sel
– 9 mars 2019 : lancement des œufs plein air
– 2 décembre 2019 : lancement du miel

Pose de première pierre : Accompagnée d’IMMO Mousquetaires, l’enseigne Netto s’installe à Pusignan

Pose de première pierre : Accompagnée d’IMMO Mousquetaires, l’enseigne Netto s’installe à Pusignan


L’enseigne discount Netto s’apprête à s’installer à Pusignan (69) avec le soutien d’IMMO Mousquetaires, la foncière intégrée du Groupement Les Mousquetaires. D’une surface de 885 m2, le point de vente deviendra le plus grand équipement commercial de la commune. La pose de la première pierre est prévue le vendredi 6 décembre 2019, en présence de Gilbert Marboeuf, maire de Pusignan, de son conseil municipal, des représentants IMMO Mousquetaires de la région ainsi que de chefs d’entreprise Netto et Intermarché de la région Auvergne Rhône-Alpes.

Ouverture pour la rentrée 2020

Commune du Rhône, située à 20 km à l’est de Lyon, Pusignan ne cesse de se développer et compte aujourd’hui près de 4 000 habitants. Afin de compléter l’offre commerciale de la région, Pusignan verra prochainement l’installation de l’enseigne Netto. Le futur point de vente bénéficiera d’une surface commerciale de 885 m2, et proposera plus de 4 000 références alimentaires. Avec 85 % de produits à marque propre, l’offre inclura, comme dans tous les points de vente Netto, des gammes bio, premium et snacking pour satisfaire les besoins et les attentes des consommateurs.

Grâce à l’expertise d’IMMO Mousquetaires, nous avons pris toutes les dispositions nécessaires pour implanter le point de vente au bon endroit, et pour qu’il réponde efficacement aux attentes des consommateurs, aux évolutions démographiques et bien-sûr, aux spécificités du territoire

Eric Poully, le chef d’entreprise Mousquetaires porteur du projet

En travaillant main dans la main avec les élus de la commune nous avons su identifier les besoins en termes d’offres commerciales du secteur.  Ce projet illustre notre capacité d’accompagner les villes dans l’aménagement et la dynamique de leur territoire.

Thomas Waechter, administrateur d’IMMO Mousquetaires dans la région Centre-Est

Les travaux de ce projet Netto à Pusignan, dont l’ouverture est prévue pour la rentrée 2020, ont débuté depuis le 15 novembre, tandis que la pose de la première pierre aura lieu le vendredi 6 décembre 2019. Un évènement symbolique, qui sera marqué par la présence de Gilbert Marboeuf, maire de Pusignan ainsi que de son conseil municipal, des membres de l’opposition et de chefs d’entreprise Netto et Intermarché de la région Auvergne Rhône-Alpes. Gibert Marboeuf, maire de Pusignan, se félicite de cette nouvelle installation : « faire la plupart de ses courses sur le territoire de la commune sera bientôt possible pour les Pusignanais, qui, jusqu’à présent, se déplaçaient sur les villes voisines pour plus de 80% de leurs achats. Ce nouveau magasin, accessible en voiture mais surtout à vélo, à pied ou en bus, sera par ailleurs un réel avantage pour les salariés de nos zones d’activité situées à proximité ».

Un point de vente Netto de 885 m2, porteur du nouveau concept de l’enseigne

Le Netto de Pusignan sera l’un des premiers magasins de l’enseigne à porter les couleurs du nouveau concept ; concept qui a été pensé avec l’ambition de faire des points de vente Netto des magasins à la fois plaisir, design et chaleureux. Les futurs clients auront ainsi l’opportunité d’y retrouver :

  • Un positionnement prix assumé avec une zone « Bonnes Affaires » renforcée ;
  • Un univers différenciant qui rompt avec les codes anciens du discount ;
  • Une vocation alimentaire pleinement exprimée avec des produits de qualité (et, notamment, une offre bio de près de 250 références) et du choix ;
  • Un parcours client rapide et efficace.

Une station-service, ouverte 24h/24, sera également intégrée au point de vente.

Lutte contre le gaspillage alimentaire : Intermarché s’engage avec Too Good To Go

Lutte contre le gaspillage alimentaire : Intermarché s’engage avec Too Good To Go


Afin de combattre le gaspillage alimentaire, Intermarché se mobilise aux côtés du leader Too Good To Go en signant un partenariat d’envergure nationale. Fort de plus de 1 800 magasins en France, l’enseigne souhaite rassembler un maximum de points de vente autour de cette initiative.

Un combat de longue date chez Intermarché

Dix millions de tonnes de denrées alimentaires sont gaspillées chaque année en France. Pour réduire ces pertes, Intermarché a mis en place de nombreuses actions, comme par exemple, instaurer un meilleur suivi des dates limites de consommation ou des démarches originales comme la vente de « fruits et légumes moches » à prix réduits. Ce sont ainsi plusieurs tonnes de produits qui ont été valorisées ces dernières années. Par ailleurs, l’ambition de l’enseigne est d’encourager la signature de conventions ou partenariats avec des associations ou des applications anti-gaspi, à l’instar de Too Good To Go ou The Food Life.

Nous sommes heureux de compter Intermarché parmi nos partenaires engagés dans la lutte contre le gaspillage alimentaire. Nous avons déjà sauvé près de 80 000 repas avec Intermarché en 11 mois et nous espérons pouvoir aller encore plus loin. Notamment à travers un travail commun de sensibilisation auprès des équipes Intermarché et des consommateurs. Tous les acteurs ont un rôle à jouer pour lutter efficacement contre le gaspillage alimentaire.

Camille Colbus, Directrice Générale Adjointe de Too Good To Go.

Avec un Intermarché tous les 17 km, nous voulons mettre à profit notre maillage territorial pour offrir au plus grand nombre la possibilité d’utiliser l’application Too Good To Go. Avec ce partenariat, nous venons consolider notre stratégie anti-gaspi. L’idée de Too Good To Go s’inscrit dans un cercle vertueux : le distributeur ne perd pas ses invendus, le consommateur se régale à petit prix, nous tissons un lien de proximité et chacun fait un geste contre le gaspillage alimentaire. C’est ensemble que l’on génère un changement positif.

Thierry Cotillard,
Président d’Intermarché

Fédérer un maximum de magasins autour de ce mouvement

À travers ce partenariat, Intermarché souhaite apporter son soutien à Too Good To Go et inciter un maximum de ses chefs d’entreprise à rejoindre le mouvement de lutte anti-gaspi. À ce jour, ils sont déjà 130 à l’utiliser quotidiennement. Facile et intuitif à exploiter, aussi bien pour le consommateur que le distributeur, l’enseigne ambitionne d’avoir la majorité de ses magasins utilisateurs fin 2020.

Intermarché, 1ère enseigne à proposer une eau MDD dont la bouteille* est constituée à 50 % de plastique recyclé

Intermarché, 1ère enseigne à proposer une eau MDD dont la bouteille* est constituée à 50 % de plastique recyclé


Depuis quelques semaines, les clients d’Intermarché peuvent découvrir, dans les rayons des points de vente, trois nouveaux packs d’eau minérale naturelle à la marque propre Aix-les-Bains. Les bouteilles allégées, et leur film de regroupement, sont constitués à 50 % de plastique recyclé. Une première pour une marque de distributeur, rendue possible grâce au modèle unique Producteurs & Commerçants.

Intermarché résolument engagée pour améliorer les emballages de ses produits

Intermarché est le seul distributeur alimentaire à être à la fois « producteur » et « commerçant » via Agromousquetaires, son pôle agroalimentaire, disposant de 62 usines toutes implantées dans l’Hexagone, fabriquant la moitié des MDD de l’enseigne et employant 11 000 collaborateurs dans ses 10 filières. Ce modèle lui permet aujourd’hui d’avancer rapidement pour répondre aux enjeux de demain.

La réduction des emballages et de leurs impacts est une priorité pour l’enseigne. C’est pourquoi l’ensemble des équipes d’Intermarché et d’Agromousquetaires se mobilisent pour repenser tous les emballages dès leur conception, les rendre recyclables, compostables ou réutilisables – et impulser cette transformation via ses marques de distributeur. En première preuve concrète de cet engagement : l’eau minérale naturelle Aix-les-Bains, première marque de distributeur à intégrer 50 % de rPET dans ses bouteilles et 50 % de rPE dans ses films de regroupement ; « r » signifiant « recyclé ».

L’ambition d’Intermarché, sur toutes ses marques d’eaux, est d’intégrer au minimum 25 % de plastique recyclé (rPET) dans ses bouteilles d’ici fin 2025 et 100 % de plastique recyclé (rPE) dans ses films d’ici fin 2022. Pour certaines marques, l’objectif d’intégration de rPET est de 100 % à moyen terme. Cette volonté d’intégration de matière recyclée est complétée par des travaux d’allégement des bouteilles.

Un impact environnemental réduit et du plastique en moins

Depuis qu’elle est consommée, soit depuis 1906, l’eau minérale naturelle d’Aix-les-Bains est reconnue pour ses bienfaits naturels. La Société des Eaux Minérales d’Aix-les-Bains (SEAB) qui la produit est d’ailleurs labellisée, depuis 2014, « Biodiversity Progress » pour son engagement en faveur de la protection de la planète et du respect de la biodiversité. Un engagement que la marque fait perdurer aujourd’hui, en lançant trois nouveaux packs (0,5 l, 1 l et 1,5 l) dont les bouteilles et le film de regroupement sont constitués respectivement à 50 % de rPET (Polyéthylène téréphtalate) et à 50 % de rPE (Polyéthylène).

Ces choix ont pour conséquence de réduire l’impact environnemental des packs : l’empreinte carbone d’un nouveau pack d’eau minérale naturelle Aix-Les-Bains d’1,5 l est réduite de 14 % par rapport à l’ancien. Cette amélioration s’explique également par la diminution du poids des bouteilles (soit 53 tonnes de plastique en moins par an sur l’ensemble de la gamme) et par l’économie des 300 tonnes de PET et 29 tonnes de PE issues du pétrole. Des actions qui font gagner l’équivalent de 675 tonnes de CO2. À titre indicatif, cela correspond à 4 000 allers-retours Paris-Marseille ou à 240 ans de chauffage d’une maison de 100 m2.

Intermarché et Netto renouvellent leur soutien au modèle unique et co-construit Bel-APBO en faveur d’une filière laitière rémunératrice

Intermarché et Netto renouvellent leur soutien au modèle unique et co-construit Bel-APBO en faveur d’une filière laitière rémunératrice


Pour la première fois dans la filière laitière, Bel et l’APBO d’une part, puis Bel et Intermarché-Netto d’autre part, ont finalisé leurs accords dès mi-novembre et garantissent pour l’année 2020 à l’ensemble des éleveurs APBO un prix rémunérateur.

Intermarché et Netto font le choix de soutenir à nouveau le modèle vertueux et transparent Bel-APBO, et vont plus loin en accompagnant Bel et les éleveurs APBO qui font le choix de la conversion au bio.

Bel, APBO et Intermarché-Netto instaurent de nouveaux modes de collaboration et de négociation, dans l’esprit des États Généraux de l’Alimentation (EGA).

Un modèle solide et pérenne, pour une juste répartition de la valeur

L’ensemble des éleveurs de l’APBO s’engage pour des pratiques durables telles que l’accès aux pâturages et l’alimentation sans OGM des animaux (<0,9%) et bénéficie d’une rémunération garantie annuellement, fondée sur un prix négocié et rémunérateur. Le 5 novembre dernier, Bel et l’APBO ont renouvelé leurs engagements pour la 3e année consécutive, au travers d’un accord qui prévoit la garantie pour 2020 d’un prix annuel minimum par Bel de 371 euros / 1000L (base 38/32 et primes incluses), auquel s’ajoutera la valorisation de la qualité réelle du lait en matières grasses et protéiques.

En 2019, le prix effectivement payé par Bel aux producteurs de l’APBO s’est élevé à 395 euros / 1000L (estimation Bel septembre 2018-août 2019). Il se positionne 11% au-dessus du prix moyen du lait conventionnel français (moyenne nationale France Agrimer septembre 2018 / août 2019 – hors AOP/IGP/Bio). L’ensemble de ces prix s’entendent toutes primes comprises, toutes qualités confondues à matière grasse et protéique réelles.

Les producteurs de l’APBO pratiquent désormais à 95% l’accès aux pâturages et 100% l’alimentation des animaux sans OGM (< 0,9%).

Depuis maintenant 3 ans, nous avançons main dans la main avec le Groupe Bel. Notre modèle, inédit dans la filière laitière, repose sur le respect d’engagements mutuels. Après le développement de l’accès aux pâturages et de l’alimentation sans OGM (<0,9%), cet accord nous permet de poursuivre notre démarche avec de nouveaux axes de travail, sur le soin aux animaux et la réduction de l’empreinte carbone des exploitations. Nous tendons ainsi vers un modèle agricole rémunérateur et toujours plus durable.

Gilles Pousse,
Président de l’APBO

Je suis très fier qu’Intermarché ait fait le choix de nous soutenir pour la seconde année consécutive, renforçant encore davantage la pérennité de notre approche. Pour la 1ère fois dans la filière laitière, nous finalisons des négociations mi-novembre pour renouveler notre accord sur un prix rémunérateur, garanti à l’année, qui apporte de la visibilité aux producteurs et permet de développer des pratiques durables et responsables. Je suis convaincu qu’un nouveau mode de collaboration industriel-distributeur est possible. Ce n’est qu’en se mobilisant, avec tous les acteurs de notre écosystème, que nous réinventerons un modèle agro-alimentaire positif.

Antoine Fievet,
Président Directeur Général du Groupe Bel

Intermarché et Netto renouvellent leur soutien pour la 2e année consécutive, et accompagnent Bel et les éleveurs APBO faisant le choix de la conversion au bio

En instaurant un cadre financier propice à la pérennité d’une filière agricole durable, Intermarché et Netto ont pour la 2e année consécutive, fait le choix de soutenir le modèle vertueux Bel-APBO, et de s’inscrire ainsi dans la démarche voulue par les EGA. À travers une hausse des prix d’achat pour 2020, Intermarché assure son total soutien à cette démarche de partage de la valeur créée au profit des éleveurs laitiers de l’APBO.

Pour aller plus loin en 2020, Intermarché et Bel organisent une opération exclusive en magasin du 31 mars au 12 avril, et s’engagent à reverser sur cette période 100% des ventes des produits « Fromage de Margot » aux éleveurs APBO ayant fait le choix de la conversion Bio. Cette annonce vient s’ajouter à la démarche déjà initiée par Bel depuis le lancement de la marque, visant à reverser 5cts aux producteurs de l’APBO engagés en Bio sur chaque produit « Fromage de Margot » vendu.

Il est essentiel qu’une enseigne telle qu’Intermarché continue de soutenir la démarche vertueuse initiée par le Groupe Bel et les producteurs de l’APBO avec un prix du lait transparent et rémunérateur. Nous concrétisons ensemble une nouvelle relation entre industriel, distributeur et agriculteurs en transformant nos pratiques de négociations dans la ligne des EGA.

Thierry Cotillard,
Président d’Intermarché et Netto
Clip It, le jeu éducatif, créatif et durable disponible chez Intermarché

Clip It, le jeu éducatif, créatif et durable disponible chez Intermarché


Avec Intermarché, Clip It, jeu de construction écologique créé en 2016, s’associe pour la première fois à une enseigne de grande distribution.
Objectif : promouvoir, auprès des enfants et des parents, une démarche éducative, créative et durable. Démarche qui sera mise en avant lors d’une animation Produit et d’ateliers à partir du 19 novembre, dans plusieurs points de vente Intermarché.

Un jeu éducatif, créatif et durable

Une petite pince en plastique recyclé permettant d’assembler des bouchons plastique entre eux : c’est le principe du jeu de construction Clip It, développé par la start-up montpelliéraine Waste Is More. Clip It repose sur un modèle économique circulaire et durable : les bouchons sont achetés auprès de l’association Bouchons d’amour, partenaire de la start-up Waste Is More, et transformés en clips. Ces clips permettent ainsi la création d’un jeu de construction écologique : 90% du jeu est composé de bouchons plastique d’usage courant déjà présents dans les foyers (lait, soda, eau…).
Une fois désintéressés du jeu, les enfants sont invités à donner leur collection de bouchons et de clips à l’association.

Ce système, qui permet de réduire la production de matière plastique et d’impliquer les enfants dans le cycle de vie du produit, a su séduire Intermarché. L’enseigne entend valoriser la démarche en points de vente, au travers d’ateliers et d’une animation produit.

Des animations et des ateliers Clip It dans les points de vente Intermarché

À partir du 19 novembre, un sachet de 10 clips sera offert pour l’achat de yaourts à boire de marque « Pâturages », la marque propre d’Intermarché pour les produits laitiers. Cette opération permettra de sensibiliser enfants et parents à une réutilisation originale de bouchons plastique et au modèle économique circulaire et durable de Clip It.

En parallèle, des ateliers créatifs auront lieu le 23 novembre dans 8 points de vente Intermarché. Ces ateliers inviteront les enfants à assembler et créer, et seront l’occasion de les sensibiliser au recyclage et au tri sélectif.

C’est la première fois qu’une enseigne de la grande distribution s’associe à Clip It.

Ci-dessous, la liste des 8 points de vente concernés par les ateliers :

  • Sainte-Maure-de-Touraine (37)
  • Nantes L’Eraudière (44)
  • Tain L’Hermitage (26)
  • Méry-sur-Oise (95)
  • Ermont (95)
  • Sancoins (18)
  • Orgeval (78)
  • Minihy-Tréguier (22)
Intermarché lance le Franco-Score

Intermarché lance le Franco-Score


Pour soutenir l’agriculture française, et dans une démarche de transparence vis-à-vis des consommateurs, Intermarché lance le Franco-Score : un nouvel étiquetage qui permet aux clients de connaître facilement la teneur de matières premières françaises dans les produits bruts et transformés, qu’ils achètent dans les rayons de leurs supermarchés.

Avec le Franco-Score, Intermarché se mobilise pour le monde agricole français et pour plus de transparence.

Le Franco-Score est un étiquetage qui vise à promouvoir l’origine, le savoir-faire et la qualité des produits alimentaires français. Apposé sur l’emballage sous la forme d’une jauge graduée en pourcentages, il apporte un éclairage concret sur la provenance géographique des produits bruts utilisés, ainsi que sur le lieu de leur transformation.

Pour lancer la démarche, Intermarché s’engage, d’ici le premier semestre 2020, à étiqueter en priorité ses produits à ses marques propres « Pâturages » et « Monique Ranou », répondant à la demande forte des consommateurs pour plus de lisibilité sur les filières lait et charcuterie.

Avec le Franco-Score, Intermarché renoue avec cinquante ans de combat pour la transparence en faveur du consommateur

Invention de l’affichage du prix au litre et au kilo (1980), devenu obligatoire deux ans plus tard ; lancement de « l’Argus de la consommation », l’ancêtre des comparateurs de prix (1985) ; invention du premier affichage nutritionnel français avec le Nutri-Pass (2006) : dix ans après, l’idée sera reprise avec le Nutri-Score.

En indiquant la part d’origine française contenue dans un produit, Intermarché est dans la même approche transparente et pédagogique vis-à-vis du consommateur en quête de visibilité sur la composition, les conditions de fabrication et l’origine des matières premières. Facile à comprendre et très visuel, l’étiquetage Franco-Score délivre une information simple pour permettre au client de comparer et de choisir en toute connaissance de cause les articles présents en rayon.

La transparence et le soutien au monde agricole français sont deux engagements qui sont intrinsèquement liés à notre statut de « Producteurs & Commerçants ». Ces deux combats, nous les menons de front depuis des années. Les initiatives les plus récentes sont, notamment, la reformulation de 900 recettes pour en retirer les additifs contestés, notre marque « Les Éleveurs Vous Disent Merci ! », et maintenant le Franco-Score 

Thierry Cotillard,
Président d’Intermarché

Permettre à tous les Français de soutenir leur agriculture

En vingt ans, la France a chuté du 2e au 6e rang des pays exportateurs de produits agricoles. Pour la première fois, le solde des échanges agroalimentaires de la France avec le reste de l’Union européenne est devenu négatif. Intermarché veut contribuer à renverser la tendance : la France, puissance agroalimentaire de premier rang, doit à nouveau vendre plus qu’elle n’achète.

Par notre initiative, nous lançons un mouvement – dont nous souhaitons qu’il devienne collégial et collectif, pour généraliser ce référentiel proposé comme en « open source ». Ne répétons pas les difficultés rencontrées à la naissance du Nutri-Score, toujours refusé par certains : multiplier les dispositifs d’information nutritionnelle n’apporte que de la confusion pour les consommateurs. L’urgence pour le monde agricole est telle qu’il est nécessaire de s’asseoir, tous, autour de la table pour décider ensemble et accélérer dans l’action.

Thierry Cotillard,
Président d’Intermarché

Cela passe aussi par la reconquête du marché intérieur. L’affichage clair de l’origine va permettre aux consommateurs d’effectuer leurs choix en toute connaissance. Et plus de consommateurs désireux de produits d’origine France, ce sera plus de sourcing d’origine France de la part des industriels et des enseignes. Et, en bonne logique, lorsque la demande progresse, la situation des agriculteurs aussi.

Thierry Cotillard,
Président d’Intermarché

Impulser un élan collectif

Consciente d’être dans une démarche de progrès, l’enseigne Intermarché a l’ambition d’insuffler, auprès des consommateurs et des autres parties prenantes, la volonté de faire croître la part de produits français dans la consommation. Persuadée qu’une co-construction vertueuse est nécessaire pour y arriver, Intermarché appelle notamment les filières agricoles, les industriels et les distributeurs à se concerter pour imaginer ensemble comment davantage valoriser, auprès des consommateurs et de manière très concrète, la production française.

Les informations du dispositif Franco-Score

Aujourd’hui, l’utilisation des indications d’origine est souvent disparate. Tandis que les matières premières sont souvent mises en avant lorsqu’elles sont françaises, elles le sont généralement moins lorsqu’elles proviennent d’ailleurs. Et les autres ingrédients ne font pas l’objet d’étiquetage particulier.

Le Franco-Score, véritable jauge du made in France, a pour objectif d’apporter une réponse à cette problématique par les informations suivantes :

  • Le lieu de fabrication ou de transformation est facilement repérable sur la carte de France ;
  • Le pourcentage précis d’ingrédients d’origine française, exprimé en toutes lettres, est reflété dans une jauge (fonctionnant par décile) ;
  • Les logos « origine française » reconnus sont mentionnés (comme, par exemple, ceux créés par les professionnels des filières de viandes françaises)
  • Le tout est rassemblé dans un seul bloc, prévu en « facing » du produit (ou en « dos de pack » lorsque qu’il manque de la place en « facing »).

Quelques exemples de produits à Franco-Score élevé :
– Le 100% concerne les produits peu transformés : Fromage blanc 3,2% MG en 1kg (Pâturages). C’est aussi le cas de tous les œufs à la marque Volaé.
– Pâturette Vanille 4x115G (Pâturages) à 97% d’ingrédients français.
– Boisson soja vanille (Regain) à 96% d’ingrédients français.

Un exemple à Franco-Score moyen :
– Endives au jambon 280g (Monique Ranou) à 45% d’ingrédients français – les endives sont belges.

Quelques exemples de produits à Franco-Score bas, parce que le marché agricole français est déficitaire en termes de capacité de production :
– Yaourt chèvre abricot 4x125g (Pâturages) à 0% : difficultés à trouver des approvisionnements suffisants en volume pour le lait de chèvre et les fruits. Ainsi, le lait de chèvre qui pèse 71% de la recette provient de France, de Belgique et d’Espagne en fonction des périodes. Pour ne pas tromper le consommateur, nous considérons l’ingrédient comme non français.
– Gamme de charcuterie bio (Monique Ranou) : Jambon supérieur (par 2 et par 4), Knacs, Lardons fumés, Rôti de porc, Rosette, Saucisse sèche bio sont aujourd’hui proche de 0% d’ingrédients français pour des questions de difficultés d’approvisionnement en porcs bio sur le marché français. Les Knacs, Rôti de porc, Rosettes, Lardons fumés et Saucisse sèche passeront en porc bio français au 1er trimestre 2020, et le jambon cuit en 2e semestre 2020.