Mise au point des enseignes Intermarché et Netto sur la distribution de masques aux Français

Mise au point des enseignes Intermarché et Netto sur la distribution de masques aux Français

Suite à l’incompréhension exprimée par certaines professions de santé vis-à-vis de la mise à disposition de masques pour la population française, les enseignes Intermarché et Netto tiennent à apporter les mises au point suivantes :

  • Dès le début de la crise du Covid-19 en France, les enseignes Intermarché et Netto ont œuvré pour fournir des moyens de protection sanitaire à leurs équipes, en première ligne pour assurer aux Français leur approvisionnement alimentaire. Une équipe dédiée aux achats de masques et autres EPI (Équipements de Protection Individuelle) s’est immédiatement mise au travail pour sourcer les volumes requis, vérifier le respect des normes, négocier et sécuriser les achats, organiser les transports…. Chaque mois, pour protéger les équipes et permettre leur activité, plus de 7 millions de masques sont nécessaires aux 2 100 points de vente Intermarché et Netto, à leurs bases logistiques et à leurs services d’appui.

  • Très vite, et à la demande des autorités publiques, ces équipes, qui avaient acquis un savoir-faire concernant les achats de masques à l’étranger, ont commencé à élargir leurs recherches pour, à terme, contribuer à équiper la population française et les opérateurs économiques. Pour mémoire, la durée d’utilisation d’un masque à usage unique est de 4 heures et la France compte 67 millions d’habitants. C’est pourquoi l’équipement de la population passe, nécessairement aussi, par des masques textiles.

  • Les masques FFP2 étant réservé aux soignants, les enseignes Intermarché et Netto ont travaillé pour importer, exclusivement, des masques à usage unique et textiles. Les stocks de masques FFP2, disponibles au démarrage de la crise, ont été intégralement offerts aux autorités sanitaires.

  • Les enseignes Intermarché et Netto rappellent que toutes les importations de masques font l’objet d’une déclaration auprès du Ministère de la Santé, qui peut les réquisitionner pour Santé Publique France. Les importations de masques par les deux enseignes se sont strictement, et en toute transparence, conformées à ces dispositions.

  • Concernant les quantités de masques, les enseignes Intermarché et Netto rappellent qu’il convient, en bonne méthode, de ne pas confondre une commande et un stock. Concernant les stocks de masques des deux enseignes :
    • Pour la protection des équipes Intermarché et Netto, depuis le mois de mars, 13 millions de masques à usage unique ont déjà été livrés aux points de vente. 75% de ces quantités ont déjà été consommés pour la protection des collaborateurs et collaboratrices.
    • 30 millions de masques ont été livrés en points de vente entre le 30 avril et le 02 mai, pour être mis à disposition des clients à partir du lundi 04 mai, par boîtes de 50 unités. 30 millions de masques, cela représente 280 boîtes par point de vente, chaque point de vente accueillant en moyenne, en ce moment, environ 5 000 clients chaque semaine. Ce premier stock de 30 millions est arrivé en France entre le lundi 13 avril et le vendredi 24 avril.
    • Une deuxième livraison de 20 millions de masques sera effectuée aux points de vente à partir du jeudi 07 mai, représentant 187 boîtes par point de vente. Ce deuxième stock est arrivé en France entre le vendredi 24 avril et le samedi 02 mai.
    • Toutes les quantités suivantes de masques à usage unique sont au stade de commandes. Un troisième volume de 50 millions devrait arriver dans l’Hexagone entre le lundi 04 et le samedi 09 mai.
    • Des commandes de masques textiles sont également passées, qui devraient arriver dans les prochaines semaines.
    • Pour les volumes suivants, les équipes achats travaillent sans relâche, conscientes de l’énormité du défi d’équiper les Français en masques, que ce soit en masques à usage unique et en masques grand public textiles, répondant au strict respect des normes requises. Le besoin des 67 millions de Français, s’il est estimé uniquement en masques à usage unique (hors textile), peut être évalué entre 134 et 200 millions chaque jour.

  • Pour organiser la distribution en points de vente des masques dans les meilleures conditions possibles, les deux enseignes ont mis en place un dispositif permettant aux clients, porteurs d’une carte de fidélité et ayant autorisé les enseignes à leur écrire, de venir retirer une boîte de 50 masques en magasin. Mais, dès ce lundi 04 mai, tous les Français, qu’ils possèdent ou non une carte de fidélité Intermarché et Netto, pourront réserver une boîte de 50 masques sur les sites www.intermarché.com ou www.netto.fr Ils pourront venir retirer cette boîte à partir du mercredi 06 mai.

  • Les enseignes Intermarché et Netto, enfin, tiennent à réitérer leur volonté de coopérer pleinement avec les professions médicales, conscientes du rôle essentiel qu’elles jouent dans la lutte contre la pandémie. Intermarché et Netto mettront à disposition des organisations professionnelles qui n’ont pas pu, ou su, s’organiser pour procurer des masques à la population française leur concours en matière de sourcing et d’achats. Les deux enseignes se tiennent à leur disposition, attendant que celles-ci veuillent bien les contacter, ce qui n’a pas encore été fait à ce jour si ce n’est par voie de communiqué de presse.

  • Intermarché et Netto souhaitent aussi que ces organisations professionnelles s’engagent à vendre les masques qu’elles importeraient à prix coûtant, considérant qu’il n’est pas envisageable de réaliser des captations de valeur indues quand la santé des Français est en jeu.

  • Enfin, les chefs d’entreprise Intermarché et Netto réaffirment pleinement leur disponibilité auprès des médecins, infirmières, établissements ou institutions, Ehpad, etc… pour, sur chaque territoire où ils sont présents, envisager les meilleurs moyens de contribuer à leur mission de santé.
Agromousquetaires ouvrira 5 lignes de production de masques sur son site des Celluloses de Brocéliande, à Ploërmel (56)

Agromousquetaires ouvrira 5 lignes de production de masques sur son site des Celluloses de Brocéliande, à Ploërmel (56)


Le Groupement Les Mousquetaires va relancer la fabrication de masques de protection individuelle sur son site « Les Celluloses de Brocéliande ». Cinq lignes de production sont prévues, trois pour les masques FFP2 et deux pour les masques chirurgicaux. La production devrait démarrer en juillet pour les masques FFP2, et en août pour les masques chirurgicaux. La production prévue entre août et décembre 2020 sera de l’ordre de 130 millions d’unités. Une soixantaine d’emplois seront créés.

Cinq lignes de production pour juillet/août

Celluloses de Brocéliande a acquis 3 machines à la société CERA (Saint-Étienne) pour les masques FFP2 (usage réservé au personnel médical, selon les directives gouvernementales) et 2 machines à la société Ose (Angers) pour les masques chirurgicaux. La production devrait démarrer début juillet pour les masques FFP2, et début août pour les masques chirurgicaux. Une soixante d’emplois seront créés, sur des profils de chefs d’équipe, techniciens de maintenance, conducteurs de ligne et caristes.

Contribuer à l’indépendance d’approvisionnement en masques pour la France est un engagement inhérent aux Mousquetaires, chefs d’entreprise indépendants. Forts de notre expérience et en lien étroit avec le Gouvernement, nous avons réussi, en moins d’un mois, à trouver des solutions pour réaménager notre usine et passer commande de 5 lignes de production de masques. Nous travaillons aujourd’hui avec les services de l’État pour finaliser ce partenariat, avec un sujet de préoccupation : l’accès à la matière première, indispensable à la fabrication des masques. Le monde entier en manque et la pénurie est un vrai risque : l’approvisionnement en « melt blown » est un prérequis pour l’accélération de la production de masques en France.

Jean-Baptiste Saria,
Président d’Agromousquetaires 

Un savoir-faire

Celluloses de Brocéliande disposait, dans les années 2000, d’une ligne de production de masques FFP2 qui a été, depuis, démontée et cédée à un autre fabricant de masques situé en France. Le savoir-faire de la fabrication des masques est donc, aujourd’hui encore, présent au sein des équipes d’encadrement et du bureau d’études de l’usine.

Une unité de production Agromousquetaires

Le Groupement Les Mousquetaires produit, depuis 1990, des changes pour bébé et des produits d’hygiène féminine dans son usine « Les Celluloses de Brocéliande » située à Ploërmel (56). Cette unité de production emploie plus de 200 personnes et produit chaque jour 3,2 millions de couches bébé et 1,8 million d’unités hygiène féminine, notamment pour les marques propres d’Intermarché (« Pommette » pour les bébés, « Labell » pour l’hygiène féminine). Cette usine est l’une des unités de production d’Agromousquetaires, le pôle agro-industriel des Mousquetaires, qui compte 62 usines – toutes situées en France.

1 000 points de vente Intermarché et Netto sur la plateforme solidaire www.jaidelesproducteurslocaux.fr

1 000 points de vente Intermarché et Netto sur la plateforme solidaire www.jaidelesproducteurslocaux.fr


En cette période de confinement, Intermarché et Netto renforcent leur soutien aux producteurs français en participant activement à la plateforme www.jaidelesproducteurslocaux.fr. Faute de débouchés suffisants, de nombreuses exploitations ne peuvent aujourd’hui écouler l’intégralité de leurs productions.

Des alternatives, notamment numériques, se mettent en place pour faciliter la rencontre et l’entraide entre producteurs et distributeurs d’un même territoire. En tant qu’enseignes de proximité cultivant l’ancrage local, Intermarché et Netto entendent fédérer un maximum de points de vente autour de cette initiative d’ampleur nationale.

Déjà 1 000 Intermarché et Netto sur la plateforme

Comme Producteurs & Commerçants, les enseignes alimentaires des Mousquetaires contribuent à construire des filières agricoles pérennes et durables, où tous les acteurs de la chaîne alimentaire prennent leurs responsabilités.


Pour donner plus d’impact encore aux initiatives lancées depuis le début de la crise du Covid-19, 1 000 magasins Intermarché et Netto se sont déjà inscrits sur la plateforme solidaire www.jaidelesproducteurslocaux.fr. Ils offrent ainsi, aux producteurs à côté de chez eux, la possibilité de vendre leur production dans leurs rayons. Avec un maillage territorial unique, Intermarché et Netto espèrent permettre à de nombreuses exploitations françaises de trouver les débouchés nécessaires pour surmonter la crise du Covid-19.

Avec notre maillage territorial unique en France, nos points de vente Intermarché et Netto s’engagent massivement sur la plateforme solidaire « J’aide les producteurs locaux ». Le soutien au monde agricole français est un engagement intrinsèquement lié à notre statut de Producteurs & Commerçants. Cet appui est une évidence pour nous aujourd’hui. Mais, au-delà de la période de confinement, ce renforcement des liens de proximité génère des changements positifs pour l’avenir.

Thierry Cotillard,
Président d’Intermarché et Netto

Une mise en relation gratuite et intuitive

Cette plateforme solidaire, simple à utiliser, met en relation gratuitement des producteurs et des distributeurs d’une même région pour favoriser, partout en France, la naissance d’initiatives locales. Elle est ouverte à toutes les enseignes de distribution et à tous les producteurs locaux, sans exception : produits agricoles « bruts », mais aussi vins, fromages, charcuteries, biscuits, chocolats, etc. Si cet outil digital rencontre le succès escompté, son activité pourrait perdurer après la crise sanitaire.

L’inscription sur www.jaidelesproducteurslocaux.fr est gratuite, rapide et intuitive. L’outil de géolocalisation met en relation distributeurs et producteurs d’un même territoire. Ne reste ensuite plus qu’à échanger pour trouver des solutions ensemble.

Intermarché et Netto mettent à disposition, à prix coûtant, 100 millions de masques chirurgicaux pour leurs partenaires fournisseurs et leurs clients fidèles

Intermarché et Netto mettent à disposition, à prix coûtant, 100 millions de masques chirurgicaux pour leurs partenaires fournisseurs et leurs clients fidèles

Poursuivre le soutien à l’activité

Depuis le début de la crise du Covid-19, Intermarché et Netto se mobilisent pour lutter contre la propagation du virus et maintenir la chaîne de la fabrication/distribution alimentaire. Les chefs d’entreprise Mousquetaires sont convaincus de l’absolue nécessité de poursuivre ces efforts en contribuant au redémarrage de l’économie. C’est pourquoi, ils se mobilisent pour rendre les masques de protection accessibles à leurs partenaires fournisseurs et à leurs clients.

Un dispositif progressif

Dès le 4 mai, Intermarché et Netto mettront progressivement à disposition des Français 100 millions de masques chirurgicaux à prix coûtant. Ensuite, dès que les quantités réservées auprès des industriels français et étrangers seront livrées, les deux enseignes proposeront des masques textiles (aux normes AFNOR) à l’ensemble de la population.

10 millions de masques pour l’écosystème de chaque point de vente

Dès le 4 mai, les chefs d’entreprise Intermarché et Netto mettront progressivement à disposition de leurs écosystèmes de PME, artisans, agriculteurs et producteurs partenaires 10 millions de masques (dont 7,4 millions à prix coûtant et 2,6 millions offerts). Ils contacteront eux-mêmes leurs partenaires concernés, ou utiliseront le concours de l’ANIA et de la FEEF pour identifier les entreprises qui ont besoin de protections pour leurs collaborateurs.

Comme acteurs économiques locaux responsables, les chefs d’entreprise Intermarché et Netto sont pleinement conscients de l’aide qu’ils doivent apporter au tissu économique de leurs territoires. Leur première contribution au redémarrage de l’activité est d’aider les acteurs de leur écosystème à assurer la sécurité de leurs équipes.

Thierry Cotillard,
Président d’Intermarché et Netto

90 millions de masques pour les clients

Afin d’organiser une distribution responsable, les 90 millions de masques destinés aux clients ne seront pas, dans un premier temps, disponibles en rayon. Dès aujourd’hui, les clients porteurs de carte de fidélité (qui autorisent l’enseigne à les contacter par e-mail) seront interrogés sur leur volonté, ou non, de bénéficier de cette offre à prix coûtant.

S’ils sont intéressés, ils recevront un bon de réservation à usage unique, leur permettant de venir retirer à l’accueil de leur point de vente une boîte de 50 masques chirurgicaux. Pour faciliter la mise à disposition, le retrait se fera sur inscription à un créneau horaire défini.

Les autres clients Intermarché et Netto pourront réserver ces boîtes de masques à partir du lundi 4 mai sur les sites www.intermarché.com ou www.netto.fr

« Intermarché et Netto mettent en place un dispositif permettant d’assurer aux consommateurs un approvisionnement régulier de masques de qualité et à prix coûtant précise Thierry Cotillard. Puisque le port des masques sera une nécessité durable, nous mettons en place un dispositif d’approvisionnement robuste et pérenne. Cette mise à disposition du début du mois de mai est une première étape, pour laquelle nous voulons assurer une distribution responsable. La vente de masques sera progressivement plus fluide. »

À prix coûtant

La boîte de 50 masques chirurgicaux [3 plis, usage unique, CE, efficacité de filtration (BFE) mini 95%] sera vendue 29,54 €, soit moins de 60 centimes le masque. « Les Français comprennent la nécessité de se protéger et de protéger les autres par le port d’un masque, poursuit Thierry Cotillard. Mais notre mission de distributeur, au service du collectif comme nous l’avons fait pour l’approvisionnement alimentaire depuis la mi-mars, est de mettre à leur disposition ces équipements en préservant leur pouvoir d’achat. »

Face aux conséquences du Covid-19, Intermarché soutient les producteurs de muguet et de Saint-Nectaire

Face aux conséquences du Covid-19, Intermarché soutient les producteurs de muguet et de Saint-Nectaire


Confronté aux conséquences du confinement, l’ensemble du monde agricole s’organise pour faire face à la crise. Intermarché s’engage auprès des interprofessions en identifiant chaque semaine des filières en besoin de soutien. L’enseigne développe aussi, pour chacune d’entre elles, une campagne médias visant à éveiller l’intérêt des consommateurs et à soutenir les achats.

Nécessaire soutien aux producteurs de muguet

La filière horticole représente, en France, 3 600 producteurs et 22 000 emplois. 80% des ventes de plantes s’effectuent entre la mi-mars et la fin du mois de mai, selon la FNSEA (Fédération Nationale des Syndicats Exploitants Agricoles). Cette année, à l’approche du 1er mai et de la tradition du muguet, les producteurs s’inquiètent : ils estiment que 70 à 80% des 60 millions de brins de muguet habituellement vendus chaque année risquent d’être perdus. Intermarché se mobilise en achetant leur production à 6 horticulteurs français spécialistes du muguet. L’enseigne mettra en avant des pots de muguet, ainsi que des bouquets confectionnés par les Ateliers de Saint-Valentin et les Serres d’Anjou, unités de production d’Agromousquetaires (pôle agroalimentaire du Groupement Les Mousquetaires).

Depuis le début du confinement, Intermarché est aux côtés des producteurs français. Nous nous mobilisons, chaque jour, pour apporter notre soutien, cette semaine aux producteurs de muguet durement impactés. Certains d’entre eux sont contraints de laisser pourrir leurs brins et d’abandonner des mois de travail, faute de débouchés commerciaux. Intermarché met tout en œuvre pour les soutenir. Soutenir les producteurs de muguet, c’est non seulement être solidaire d’une filière en difficulté, mais également valoriser un produit 100% français, de la griffe au bouquet.

Stéphane de Fontenay,
Chef d’entreprise Intermarché en charge du commerce de l’enseigne

Les fromages AOP, toujours en grande difficulté

Selon les derniers chiffres de la FDSEA (Fédération Départementale des Syndicats Exploitants Agricoles) du Cantal (15), de nombreux producteurs de fromages AOP ont vu leurs ventes baisser de 60 à 80 % en raison de la crise sanitaire liée au Covid-19. Les fromages AOP d’Auvergne sont particulièrement concernés par cette récession. Pour Marie-Paule Chazal, directrice de l’ISN (Interprofession du Fromage AOP Saint-Nectaire), « le choc a été violent » le consommateur ayant changé ses habitudes depuis le début de l’épidémie, « privilégiant les produits basiques tels que les pâtes et ne cherchant pas les achats plaisir ». Pour leur venir en aide, les syndicats interprofessionnels de défense des 5 fromages AOP d’Auvergne se sont mobilisés, en négociant l’indemnisation de certaines pertes, ou en assouplissant le cahier des charges pour faciliter, par exemple, la congélation de certains produits laitiers.

Face à cette situation, Intermarché se mobilise aux côtés des producteurs de fromages auvergnats et encourage les Français à en consommer. L’enseigne mettra en avant, cette semaine, le Saint-Nectaire laitier, proposé à un prix de vente au minimum légal*, pour offrir des débouchés à un maximum de volumes. Ce Saint-Nectaire laitier provient de la Société Fromagère du Livradois, située dans le village de Tauves dans le Puy-de-Dôme (63). Plusieurs exploitations agricoles bénéficieront directement de cette opération. Un soutien média contribuera à la prise de conscience des Français et fera largement passer ce message de solidarité vis-à-vis des producteurs de fromages de terroirs.

Face au Covid-19, Intermarché soutient la pomme de terre primeur et la filière piscicole

Face au Covid-19, Intermarché soutient la pomme de terre primeur et la filière piscicole


Confronté aux conséquences du confinement, le monde agricole français s’organise pour faire face à la crise sanitaire. Intermarché s’engage auprès des interprofessions en identifiant chaque semaine des filières en besoin de soutien. Et l’enseigne adapte, pour chacune d’entre elles, une campagne médiatique visant à encourager les Français à consommer plus de produits frais.

Nécessaire soutien à la pomme de terre primeur

Les ventes de pommes de terre fraîches, considérées comme un produit alimentaire de base par les Français, sont exponentielles depuis le début du confinement. La hausse des achats concerne tous les commerces, en surfaces de vente mais aussi en drive et en livraison à domicile.

Pourtant, les acteurs de la filière s’inquiètent pour la pomme de terre primeur, issue des bassins bretons, du Roussillon et de Noirmoutier. Car cette variété nécessite généralement une vente assistée. En temps normal, elle est donc très présente dans la restauration et sur les marchés alimentaires. Face à cette situation critique, Intermarché se mobilise en achetant, leur production à 45 agriculteurs français spécialistes des pommes de terre primeur.

Pour encourager ses clients à en consommer cette semaine, l’enseigne mettra en avant ce produit de saison proposé à un prix de vente au minimum légal afin d’offrir des débouchés à un maximum de volumes.

La pisciculture française, autre filière en difficulté

La pisciculture est l’un des secteurs durement touchés par la crise économique actuelle. Dans un communiqué de presse commun daté du 24 mars dernier, le CIPA (Comité Interprofessionnel des Produits de l’Aquaculture), le CNC (Comité National de la Conchyliculture) et France Filière Pêche (association à vocation interprofessionnelle qui réunit tous les maillons de la filière de pêche française) évoquaient alors les impacts causés par la pandémie de coronavirus sur leurs secteurs d’activité. Ils indiquaient que « l’ensemble des acteurs des filières de pêche, de pisciculture et de conchyliculture français » restaient mobilisés « pour maintenir l’approvisionnement en produits aquatiques et contribuer à l’alimentation des Françaismalgré le contexte contraignant ».

Pour contribuer à redynamiser l’activité, Intermarché déploie, de son côté, une campagne médiatique visant à inciter les consommateurs à acheter de la truite française entière. Celle-ci sera, elle aussi, proposée à un prix de vente au minimum légal.

Depuis le début du confinement, Intermarché est aux côtés des producteurs français. Nous nous mobilisons, chaque jour, pour leur apporter notre soutien. Cette aide passe, avant tout, par des actes concrets. Nous avons, par exemple, acheté 18 tonnes de truites entières françaises pour les vendre, cette semaine, dans nos rayons. Ainsi, nos clients pourront trouver, dans leurs points de vente, des barquettes de deux truites de 500 g en libre-service et de la truite vidée dans nos poissonneries. Comme Producteurs & Commerçants, nous avons un rôle majeur à jouer pour assurer la stabilité et la pérennité du monde agricole français durant cette période de crise.

Stéphane de Fontenay,
Chef d’entreprise Intermarché en charge du commerce de l’enseigne
Face au Covid-19, Intermarché poursuit son soutien aux filières agricoles françaises en ouvrant les débouchés de vente aux fromages des terroirs et en favorisant leur consommation

Face au Covid-19, Intermarché poursuit son soutien aux filières agricoles françaises en ouvrant les débouchés de vente aux fromages des terroirs et en favorisant leur consommation


Depuis le 16 mars et le début du confinement lié au Covid-19, le pic annuel de production laitière de printemps coïncide avec la chute simultanée de pans entiers de consommation des fromages de terroir, due à la fermeture de la restauration hors foyer et de certains marchés, à la baisse des exportations ainsi qu’à la transformation des habitudes alimentaires.
Aujourd’hui, de nombreux producteurs laitiers fermiers se trouvent dans des situations très compliquées pour assurer la vente de leurs produits. Face à cette situation, Intermarché poursuit son soutien au monde agricole français en ouvrant les débouchés de vente aux fromages des terroirs et en favorisant leur consommation.

Alerte sur la consommation des fromages de terroirs

Outre la fermeture des restaurants, des cantines et de la majorité des marchés, avec le confinement mis en place pour faire face à l’épidémie de Covid-19, les Français « ont complètement changé leur mode de consommation » a estimé vendredi la présidente de la FNSEA. Dans leur alimentation, « il y a eu moins de fromages », a précisé Christiane Lambert – ou les Français se sont détournés des fromages de terroirs au profit de produits moins gastronomiques. « La consommation de fromages festifs ou d’appellation d’origine est en chute », s’est aussi alarmée Caroline Le Poultier, directrice générale du Cniel, l’interprofession laitière.

« Cri d’alarme » pour les fromages AOP

À l’unisson, Michel Lacoste, président du Conseil national des appellations d’origine laitières (CNAOL) explique que, « du Brie au Rocamadour en passant par le Munster ou le Reblochon, la situation est catastrophique pour les producteurs de fromages dans les zones d’appellations protégées AOP » – tandis que la filière Comté annonce vouloir produire 8 % de moins sur les trois prochains mois.

Enfin la coopérative laitière Sodiaal évoque la nécessité d’agir pour la Fourme d’Ambert, le Morbier ou l’Ossau Iraty « pour qu’ils survivent à la crise du coronavirus ». « C’est une partie de notre patrimoine gastronomique qui pourrait s’en aller, des pans d’économie rurale qui risquent de disparaître vu l’importance de la production laitière AOP dans certaines régions » a insisté le directeur des activités fromagères de Sodiaal.

Focus sur la Tome de Savoie et le Reblochon fermier

Face à cette situation, Intermarché soutient les producteurs de fromages de terroirs et encourage les Français à en consommer. L’enseigne mettra en avant, cette semaine, la Tome de Savoie puis le Reblochon fermier, proposés à un prix de vente au minimum légal*, pour offrir des débouchés à un maximum de volumes. (*Prix d’achat majoré de 10% ou « prix plancher ». La loi Agriculture et Alimentation, entrée en vigueur le 1er février 2019, prévoit que les distributeurs ont l’interdiction de vendre un produit alimentaire en dessous de son prix d’achat effectif augmenté de 10 %.)

La Tome de Savoie mise en avant pour cette opération provient de la Fromagerie de la Tournette et ses partenaires ; le Reblochon fermier, quant à lui, sera fourni par Les Fromageries Pochat & fils et leurs partenaires : producteurs de lait, producteurs fermiers, transporteurs et affineurs. Plusieurs dizaines d’exploitations agricoles bénéficieront directement de cette opération.

Un soutien média contribuera à la prise de conscience des Français et fera largement passer ce message de soutien et de solidarité vis-à-vis des producteurs de fromages des terroirs de France.

En tant que Producteurs & Commerçants, notre volonté a toujours été de construire des filières agricoles pérennes et durables, où tous les acteurs de la chaîne alimentaire prennent leurs responsabilités. En ce temps de crise aiguë, il est plus que jamais nécessaire de soutenir notre agriculture française, la vitalité de nos territoires ainsi que l’apport inestimable des filières à notre économie et à notre culture de la table. Notre appui aux producteurs de fromages de terroir est emblématique du soutien d’Intermarché à une activité économique essentielle, ainsi qu’à la diversité de nos productions agricoles et aux spécificités régionales

Stéphane de Fontenay,
Chef d’entreprise Intermarché en charge du commerce de l’enseigne.
Face au covid-19, Intermarché poursuit son soutien aux filières agricoles françaises et sa défense du pouvoir d’achat des Français

Face au covid-19, Intermarché poursuit son soutien aux filières agricoles françaises et sa défense du pouvoir d’achat des Français


La situation inédite que traverse la France transforme profondément la consommation, qui s’effondre pour les produits frais, notamment pour les fruits et légumes de saison, ainsi que pour le poisson frais. Le ralentissement de l’activité économique, logiquement, rend les Français pessimistes pour leur pouvoir d’achat, source d’inquiétude pour 68 % d’entre eux. Dans ce contexte, Intermarché accompagne les agriculteurs et les consommateurs par des décisions concrètes.

Chaque semaine, vendre un maximum de produits frais issus de l’agriculture française

Pénurie de travailleurs saisonniers, interruption des exportations, fermeture de la restauration hors foyer et de certains marchés locaux, report des consommateurs sur l’épicerie… le monde agricole français souffre des conséquences du confinement.

Face à cette situation, Intermarché encourage les Français à consommer davantage de produits frais et, chaque semaine, identifie, avec les interprofessions, les filières en besoin de soutien.

Concrètement, pour permettre aux agriculteurs français de vendre un maximum de volumes, l’appui d’Intermarché se traduit par le choix, chaque semaine, de quelques produits issus de l’agriculture ou de la pêche françaises, proposés au consommateur à un prix de vente au minimum légal.

10 000 prix bloqués

Alors que l’inquiétude des Français pour l’avenir économique de leur pays grandit, c’est le pouvoir d’achat qui préoccupe le plus les Français, qui estiment à 66% que les effets de la crise économique provoquée par le Covid-19 vont se prolonger au-delà de l’année 2020.

Deuxième engagement de l’enseigne, Intermarché réaffirme plus que jamais son combat pour le pouvoir d’achat en bloquant, jusqu’au 15 mai prochain, les prix de 10 000 produits de marques nationales ou de marques de distributeur (hors rayons traditionnels, œufs, beurre et lait – et hors produits en promotion).

En tant que Producteurs & Commerçants, notre volonté a toujours été de construire des filières agricoles pérennes et durables, où tous les acteurs de la chaîne alimentaire prennent leurs responsabilités. En ce temps de crise aiguë, il faut plus que jamais soutenir notre agriculture française. Un autre combat d’Intermarché depuis toujours, c’est la défense du pouvoir d’achat des Français : plus que jamais, nous réaffirmons notre engagement en ce sens. Puisque nous demandons à nos clients de faire leurs courses de manière responsable et solidaire, c’est notre devoir de l’être aussi 

Stéphane de Fontenay,
chef d’entreprise Intermarché en charge du commerce de l’enseigne
Face au covid-19, Intermarché poursuit son soutien aux filières agricoles françaises : cette semaine, filière ovine et filière tomate

Face au covid-19, Intermarché poursuit son soutien aux filières agricoles françaises : cette semaine, filière ovine et filière tomate


Confronté aux conséquences du confinement, le monde agricole français s’organise pour faire face à la crise sanitaire. Faute de débouchés suffisants et devant le manque de main d’œuvre saisonnière, de nombreux producteurs et éleveurs français s’inquiètent. Intermarché se mobilise auprès des interprofessions en identifiant chaque semaine des filières en besoin de soutien. Et l’enseigne adapte, pour chacune d’entre elle, une campagne médiatique visant à encourager les Français à consommer plus de produits frais.

Pâques : période stratégique pour les filières ovines

À l’approche de Pâques, les éleveurs français craignent de ne pas vendre les agneaux élevés par leurs soins. Si cette hypothèse se confirmait, cela pourrait être destructeur pour l’ensemble de la filière, car cette fête représente presque la moitié de la consommation annuelle de viande ovine dans l’Hexagone. Cette semaine, afin d’inciter ses clients à l’achat, l’enseigne mettra donc en avant de l’agneau français.

Le produit emblématique de cet évènement est le gigot d’agneau que l’on partage généralement en famille. Avec le prolongement du confinement et l’absence de grandes tablées, il est peu probable que cette partie de l’animal se vende aussi bien que d’habitude. Intermarché recommande donc à ses magasins de faire évoluer leur offre en proposant des unités de besoin qui correspondent mieux à des familles en nombre plus restreint : le ¼ avant pour cuisiner de l’épaule rôtie, des côtelettes et de la poitrine, mais aussi de la souris, des émincés ou encore un rôti dans la selle, etc. Chaque année, Intermarché achète près de 280 000 agneaux à plus de 2 000 éleveurs français.

Démarrage de la saison pour la tomate française

L’annonce de la fermeture des marchés alimentaires la semaine dernière a pénalisé nombre de maraîchers français qui font le choix du circuit-court pour écouler leur production locale. Tous les acteurs de la grande distribution sont donc à leurs côtés pour les aider à vendre leurs stocks et trouver d’autres alternatives. Ce manque de débouchés se fait surtout ressentir pour les producteurs de tomates anciennes. Aussi, à côté des variétés habituelles, cette semaine, les consommateurs pourront trouver sur les étals d’Intermarché des tomates côtelées jaunes, noires et rouges, ou encore des allongées cœur.

En tant que Producteurs & Commerçants, notre volonté a toujours été de construire des filières agricoles pérennes et durables, où tous les acteurs de la chaîne alimentaire prennent leurs responsabilités. En ce temps de crise aiguë, il est d’autant plus important d’être présents et de soutenir notre agriculture française. Nous sommes aussi des entrepreneurs, et donc particulièrement attachés à la vitalité des entreprises et des PME avec lesquelles nous travaillons. Nous mettrons tout en œuvre pour les soutenir en ces temps difficiles.

Stéphane de Fontenay,
Chef d’entreprise Intermarché en charge du commerce de l’enseigne.
Bricomarché, Brico Cash et Bricorama proposent des articles de bricolage de première nécessité

Bricomarché, Brico Cash et Bricorama proposent des articles de bricolage de première nécessité


Dans le contexte de lutte contre la pandémie du Coronavirus, Bricomarché, Brico Cash et Bricorama, les enseignes de bricolage du Groupement Les Mousquetaires, répondent aux besoins de première nécessité et de dépannage.

À compter du 26 mars, en laissant les surfaces de vente fermées, avec les gestes-barrières et des mesures sanitaires strictes, les clients des trois enseignes Mousquetaires pourront accéder aux produits de bricolage essentiels selon deux modalités.

Dans l’actuel contexte de crise sanitaire et de prolongement prévisible de la durée du confinement, les enseignes d’Équipement de la Maison du Groupement Les Mousquetaires veulent répondre aux besoins incontournables des Français, en attente d’une offre de bricolage essentielle :

  • En proposant aux particuliers les produits de première nécessité,
  • En apportant un service minimum aux artisans et professionnels,
  • En aidant par des conseils en ligne les clients qui en ont besoin,
  • En mettant les clients en relation avec des prestataires de dépannage.

Pour répondre à ces objectifs, le e-commerce des enseignes Mousquetaires poursuit son activité, et élargit le nombre de références essentielles et éligibles à la livraison directe à domicile. Dans les prochains jours, une deuxième formule d’achat sera possible : les clients pourront retirer leurs achats sur le parking des points de vente, après commande en ligne, par mail, voire par téléphone.

Pour accompagner ses clients, dans les jours qui viennent, chaque point de vente communiquera les modalités de son activité, par email ou sur les réseaux sociaux.

Notre métier de l’Équipement de la Maison est un métier spécifique, de conseil et d’interactions fortes avec les clients. À ce jour, l’accès physique à nos surfaces de vente demeure donc fermé. Mais nos magasins de bricolage trouvent d’autres modalités de service, car ils doivent répondre aux nécessités de dépannage et aux attentes essentielles des Français. Nous renforçons l’achat en ligne avec livraison directe à domicile. Et, progressivement, tenant compte des spécificités de chaque situation locale, les points de vente Bricomarché, Brico Cash et Bricorama proposeront aux Français le retrait de marchandises sur leur parking.

Thierry Coulomb,
Président d’ITM Equipement de la Maison